Un grand merci à Michel de GUILHERMIER (dont l’expérience de l’entrepreneuriat du réel n’est plus à prouver) de nous proposer cette lecture de l’intelligence entrepreneuriale dans un journal grand public.
Extraits à retrouver dans l’article
Depuis maintenant 25 ans que je suis entrepreneur et investisseur,(…) je pense pouvoir affirmer qu’il y a des lois humaines, des configurations psychologiques qui favorisent et expliquent en grande partie les succès et les échecs entrepreneuriaux. Quels que soient les secteurs, quels que soient les conditions extérieures, crise ou pas crise. C’est l’homme qui fait et qui fera toujours la différence.
Il y a des entrepreneurs pour lesquels la probabilité de succès est quasiment totale (avec une magnitude variable cependant) comme il y a des entrepreneurs pour lesquels la probabilité d’échec est quasiment totale. Et pour ces derniers, lorsque l’échec arrivera, ce sera évidemment la faute des conditions extérieures, le marché, la crise, la concurrence, les méchants investisseurs qui n’ont rien compris et qui n’ont pas soutenu, etc.
Note de la FNPAE : « entrepreneur » semble ici être pris dans la seule acception de l’entrepreneur économique en format société. Il y a des modèles (intrapreneuriat, CAE, CAPE, entreprendre un voyage ou sa vie, …) où les chances de succès s’ouvrent bien plus évidemment. C’est tout l’art du Bilan de compétences entrepreneuriale de les révéler.